La retraite par cotisation reconnaît notre statut de travailleureuse quand les autres piliers ne récompensent que la capacité à capitaliser. Nous devons renforcer ce pilier de retraite qui est le seul à reposer sur un principe de solidarité. Nous défendons une idée qui va  plus loin que l’initiative de l’USS : intégrer le deuxième pilier à l’AVS pour parvenir à une rente minimale de 4’500 francs par mois ainsi qu’un départ à la retraite à soixante ans.

Pour l’heure, nous vous invitons en premier lieu  à voter OUI à Initiative Mieux vivre à la retraite – pour une treizième rente AVS et NON à celle qui promet frauduleusement «une prévoyance vieillesse sûre et pérenne», mais vise en fait à reculer l’âge de la retraite pour toutes et tous.

Après plusieurs mois de travaux préparatoires, un comité unitaire s’est constitué début janvier et a déposé cette semaine à la Chancellerie vaudoise un projet d’initiative pour un salaire minimum cantonal. Ce comité est composé de nombreux syndicats, partis politiques et associations. Des exemples récents d’introduction dans d’autres cantons de salaires minimums montrent qu’il est un outil efficace de lutte contre les bas salaires, l’exploitation éhontée des travailleuses et travailleurs pauvres, le dumping salarial et les discriminations salariales à l’égard des femmes. Le comité unitaire attend maintenant les déterminations des services cantonaux compétents pour pouvoir publier les initiatives et organiser la récolte de signatures.

La Suisse romande a la gueule de bois.

Après ce 25 septembre le couperet est tombé, les femmes* devront travailler jusqu’à 65 ans.
Malgré cette claque reçue ce dimanche, nous ne baissons pas les bras, et nous continuons à nous battre avec tous les moyens à notre disposition. Cette décision votée démocratiquement a remporté un « petit oui » dont les conséquences ont été sous estimées.

Depuis 2019, les organisations féministes se sont mises en mouvement pour s’opposer à cette réforme injuste sur le dos des personnes les plus vulnérables. Pour défendre une véritable qualité de vie:., le droit à une vie digne, en cohésion avec les autres et l’environnement.

Aujourd’hui nous rappelons la nécessité a minima , de ramener l’âge de la retraite à 60 ans pour touxtes. Pour cet objectif, et la défense de nos droits et nos besoins, nous ne cesserons pas de nous battre.

La Loi sur le cinéma (LCin) propose de taxer à 4% les bénéfices engrangés en Suisse par les plateformes de Streaming (Netflix, Amazon, Disney, etc.) sous forme d’achat de droits et de coproductions avec des maisons de production suisse. Cela signifie qu’à l’avenir des séries et films Netflix suisses pourront exister. L’Italie et la France ont déjà mis en place de telles taxes et elles sont cinq fois supérieures à la proposition suisse (autour de 20%).
Qui dit nouveaux investissements, dit nouvelles productions, laissant la possibilité à de nouveaux formats et de nouvelleaux artistes, jusqu’ici non soutenuxes de se faire une place dans le paysage cinématographique suisse.

Cette modification de la loi sera une belle évolution pour une activité qui a toute sa place dans notre pays et dans l’économie locale.

L’UE a décidé de développer Frontex et de mettre plus d’argent et de personnel à sa disposition. Le Conseil fédéral et le Parlement ont décidé de soutenir ce développement. Cette décision a fait l’objet d’une demande de référendum qui nous amène à voter sur ce sujet le 15 mai.

Décroissances alternatives recommande de voter NON le 15 mai.

Non à la xénophobie, non à la loi sur la chasse qui risquerait de faire disparaitre encore plus d’espèces, non au piège des déductions fiscales, oui au congé paternité bien qu’il soit loin des revendications d’un vrai congé parental et non aux avions militaires superflus.

Une campagne sans moyens, sans personnalisation, uniquement sur des idées pour un excellent résultat de la Grève du climat. Mais, une dispendieuse campagne des milieux qui avaient à y perdre pour convaincre les votantes et votants de Suisse d’aller contre leurs intérêts de locataires. Enfin, un signal extrêmement fort contre l’homophobie, une porte qui s’ouvre vers plus de tolérance.

L’initiative, soutenue par notre groupe, propose :
la mise en place d’une assurance cantonale pour les soins dentaires de base;
un meilleur dispositif de prévention en matière de santé bucco-dentaire;
la création d’un réseau de policliniques dentaires régionales pour garantir l’accès aux soins.