Ce budget n’est pas celui dont nous rêvons. Le budget de nos rêves permettrait de s’attaquer aux nombreux besoins qu’il faudrait couvrir, en matière d’accueil de la petite enfance, de lutte contre la précarité (un deuxième Hublot, une maison-refuge pour les femmes victimes de violence), en matière d’attention aux jeunes de notre ville, de lutte contre la perturbation climatique par des mesures plus énergiques… Et nous estimons que nos rêves sont prémonitoires…
Mais nous savons que les communes manquent de forces, de revenus et de locaux pour faire tout ce qui serait nécessaire. Ce qui caractérise donc à nos yeux le budget tel que présenté, c’est qu’il est juste, selon les besoins minimaux de la population de Vevey et des services de la Ville.