La retraite par cotisation reconnaît notre statut de travailleureuse quand les autres piliers ne récompensent que la capacité à capitaliser. Nous devons renforcer ce pilier de retraite qui est le seul à reposer sur un principe de solidarité. Nous défendons une idée qui va  plus loin que l’initiative de l’USS : intégrer le deuxième pilier à l’AVS pour parvenir à une rente minimale de 4’500 francs par mois ainsi qu’un départ à la retraite à soixante ans.

Pour l’heure, nous vous invitons en premier lieu  à voter OUI à Initiative Mieux vivre à la retraite – pour une treizième rente AVS et NON à celle qui promet frauduleusement «une prévoyance vieillesse sûre et pérenne», mais vise en fait à reculer l’âge de la retraite pour toutes et tous.

La Suisse romande a la gueule de bois.

Après ce 25 septembre le couperet est tombé, les femmes* devront travailler jusqu’à 65 ans.
Malgré cette claque reçue ce dimanche, nous ne baissons pas les bras, et nous continuons à nous battre avec tous les moyens à notre disposition. Cette décision votée démocratiquement a remporté un « petit oui » dont les conséquences ont été sous estimées.

Depuis 2019, les organisations féministes se sont mises en mouvement pour s’opposer à cette réforme injuste sur le dos des personnes les plus vulnérables. Pour défendre une véritable qualité de vie:., le droit à une vie digne, en cohésion avec les autres et l’environnement.

Aujourd’hui nous rappelons la nécessité a minima , de ramener l’âge de la retraite à 60 ans pour touxtes. Pour cet objectif, et la défense de nos droits et nos besoins, nous ne cesserons pas de nous battre.

La Loi sur le cinéma (LCin) propose de taxer à 4% les bénéfices engrangés en Suisse par les plateformes de Streaming (Netflix, Amazon, Disney, etc.) sous forme d’achat de droits et de coproductions avec des maisons de production suisse. Cela signifie qu’à l’avenir des séries et films Netflix suisses pourront exister. L’Italie et la France ont déjà mis en place de telles taxes et elles sont cinq fois supérieures à la proposition suisse (autour de 20%).
Qui dit nouveaux investissements, dit nouvelles productions, laissant la possibilité à de nouveaux formats et de nouvelleaux artistes, jusqu’ici non soutenuxes de se faire une place dans le paysage cinématographique suisse.

Cette modification de la loi sera une belle évolution pour une activité qui a toute sa place dans notre pays et dans l’économie locale.

L’UE a décidé de développer Frontex et de mettre plus d’argent et de personnel à sa disposition. Le Conseil fédéral et le Parlement ont décidé de soutenir ce développement. Cette décision a fait l’objet d’une demande de référendum qui nous amène à voter sur ce sujet le 15 mai.

Décroissances alternatives recommande de voter NON le 15 mai.

Aux urnes ce dimanche 28 novembre! Un comité référendaire interpartis dont fait partie notre camarade Taraneh Aminian s’est constitué pour dénoncer l’impact de ce projet sur le château, patrimoine historique classé à l’inventaire national et cher au cœur des Boéland-e-x-s ainsi que sur les finances de la commune, et pour s’opposer à un projet démesuré pour créer un restaurant sur ce site archéologique unique en Suisse romande.

OUI aux soins infirmiers. NON à l’initiative sur la Justice. Vote blanc ou refus de la loi Covid.

Un grand oui au mariage pour toustes. Ce ne sont pas celleux qu’on croit qui profitent… oui à l’initiative 99%.

Dimanche 13 juin, les citoyemmes Suisses ont voté sur cinq objets fédéraux ayant suscité de vifs débats, et au sujet desquels les membres de da. se sont mobilisëes.

Non à la LMPT dangereuse et contraire aux droits humains, Oui pour une Suisse sans pesticides de synthèse, liberté de vote pour l’initiative pour une eau potable propre, Non à une loi CO2 insuffisante au niveau écologique et qui vise à taxer les classes moyennes et populaires de manière disproportionnée sans taxer les vrais pollueurs (grandes entreprises et la place financière), et enfin Oui à la loi Covid afin de maintenir des soutiens indispensables.

Non à la xénophobie, non à la loi sur la chasse qui risquerait de faire disparaitre encore plus d’espèces, non au piège des déductions fiscales, oui au congé paternité bien qu’il soit loin des revendications d’un vrai congé parental et non aux avions militaires superflus.