La retraite par cotisation reconnaît notre statut de travailleureuse quand les autres piliers ne récompensent que la capacité à capitaliser. Nous devons renforcer ce pilier de retraite qui est le seul à reposer sur un principe de solidarité. Nous défendons une idée qui va  plus loin que l’initiative de l’USS : intégrer le deuxième pilier à l’AVS pour parvenir à une rente minimale de 4’500 francs par mois ainsi qu’un départ à la retraite à soixante ans.

Pour l’heure, nous vous invitons en premier lieu  à voter OUI à Initiative Mieux vivre à la retraite – pour une treizième rente AVS et NON à celle qui promet frauduleusement «une prévoyance vieillesse sûre et pérenne», mais vise en fait à reculer l’âge de la retraite pour toutes et tous.

L’UNRWA est la principale organisation d’aide humanitaire dans la bande de Gaza. Étant donné que le nombre de réfugié-es ne cesse de croître, les exigences posées au programme de l’ONU s’élèvent de jour en jour. C’est pourquoi da. appelle à ne pas couper les vivres de l’UNRWA, sous peine de provoquer une catastrophe humanitaire supplémentaire.

Le groupe décroissance alternatives au conseil communal de Montreux a adressé cette interpellation à la municipalité, et plus particulièrement à son représentant à l’ARAS.

L’interpellation est motivée par :

La nouvelle de la fermeture du HUBLOT,  centre régional à Vevey pour l’accueil des « sans-abris », géré par Caritas, centre qui peut accueillir une vingtaine de personnes chaque soir. Je rappelle que cette fermeture est due, selon la presse, à deux facteurs : des punaises de lits et une équipe d’accueil en sous-effectifs. Elle devait rouvrir mi-novembre, mais elle reste fermée à cause des punaises invaincues.
Vu la conjoncture actuelle (augmentations de loyer, d’assurances et divers), on peut s’attendre à la multiplication du nombre de « sans-abris ».
Une période où le temps est pluvieux et se refroidit. La mort guette dehors.
 
Quelles solutions, autres que les diriger vers d’autres centres (Lausanne, Nyon, Yverdon) déjà débordants, nos communes envisagent-elles pour les « sans-abris » ?

En pleine nouvelle explosion tragique d’un conflit vieux de septante-cinq ans, en plein déluge d’informations, de points de vues orientés et de propagandes émotionnelles et polarisées, face aux incessantes injonctions à choisir un camp au détriment de l’autre, il semble urgent de présenter ce documentaire qui relate de l’intérieur la vie contrainte de ce territoire minuscule et surpeuplé.

Yallah Gaza tente de comprendre comment «fait-on pour vivre presque normalement» lorsque l’occupant vous refuse les droits humains les plus élémentaires. Le film appréhende cette lutte quotidienne pour que le désespoir ne s’installe pas et comment se transmet de génération en génération cette flamme de la culture et de la terre. Yallah Gaza témoigne de cette «rage de vivre»et veut rendre leur humanité aux palestiniens de Gaza.

La lettre d’alerte envoyée par un conducteur des VMCV, l’entreprise locale de transports publics de la Riviera vaudoise, nous inquiète et nous indigne.

Dans une époque où les acquis sociaux sont de plus en plus attaqués, nous affichons notre soutien pour les travailleureuses qui se battent pour leurs conditions de travail et de vie.

Comme l’annoncent l’AFP et les journaux, une grève «illimitée» affecte depuis mardi l’usine Nestlé Waters de Vittel (Vosges), suite à l’annonce de la suppression de 171 postes de travail. Selon la CGT, syndicat majoritaire, «environ 80%» des 721 salariés sont en grève. Nous leur déclarons notre pleine solidarité.

Envie de lire cet été ? Voici quelques ouvrages proposés par des membres de da.

Grâce à un financement privé, le Répit, accueil d’urgence saisonnier géré par la Fondation Mère Sofia, a pu ouvrir un mois plus tôt, le premier novembre, avec une capacité de 100 places. 25 jours plus tard, la Fondation cesse de gérer le site pendant plusieurs jours, ne disposant pas des moyens pour assurer la sécurité des personnes accueillies et des personnes qui y travaillent.

Aujourd’hui, les réponses politiques ne peuvent plus attendre. Nous demandons urgemment l’ouverture de places supplémentaires qui permettent de couvrir tous les besoins. Nous demandons l’annualisation des places, comme exprimé en 2020 et 2022 par le Conseil communal de Lausanne. Nous demandons des moyens supplémentaires pour améliorer les conditions d’accueil et de travail. Nous demandons un lieu décent pour le Collectif Jean Dutoit. Nous demandons que le Canton se dote d’une politique cantonale du logement social qui permette réellement aux personnes à la rue d’en sortir.

Le besoin d’une stratégie cantonale de la politique sociale du logement est ressorti le 14 septembre 2022, lors d’une table ronde qui a réuni des actrices et acteurs du monde associatif ainsi que les autorités publiques concernées par les hébergements d’urgence. Outre “l’importance des ressources financières pour pallier le manque de lits, la nécessité d’une pluralité de réponses à ce problème complexe, mais aussi le besoin d’un personnel formé pour assurer l’encadrement des bénéficiaires”, la question des rôles Canton-communes a été abordée. Ainsi, il est souligné que “la coordination entre les communes et le Canton doit également être renforcée, en développant une vision globale et concertée.”

Dans le but de définir une stratégie cantonale de la politique sociale du logement, le présent postulat demande au Conseil d’État de mettre sur pied un inventaire des actions et des prestations mises en place par les communes et les associations dans le canton. Nous demandons que cet inventaire permette de dresser un état des lieux, sur la base des retours du terrain, des enjeux relatifs à la politique actuelle du logement dans le canton.

Le groupe Ensemble à gauche et POP s’est engagé en faveur d’une action publique adressant les conséquences et les causes du risque de pénurie d’électricité. Il continuera de le faire dès mardi : il s’intéressera au secteur de la culture, après s’être positionné du côté des plus vulnérables face à la hausse des prix, mais également en faveur de mesures de sobriété et du refus de rouvrir la porte aux hydrocarbures dans le canton.