La Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique est entrée en vigueur le 1er avril 2018. Elle constitue l’accord international visant à combattre ce type de violations des droits humains le plus complet. Il s’étend aux champs d’action prévention de la violence, protection des victimes, poursuite pénale et approche globale et coordonnée (politiques intégrées). La Suisse a signé la convention le 11 septembre 2013. Les Chambres fédérales ont voté l’adhésion le 16 juin 2017. La Suisse a émis quatre réserves dans le cadre de la ratification de la convention, dont une porte sur l’art. 59, statut de résident accordé aux migrantes et migrants victimes de la violence.
Cette initiative demande la levée de cette réserve afin de protéger les victimes de violences indépendamment de leur statut de séjour.

Les riches s’enrichissent, les plus pauvres trinquent. Le capitalisme détruit la nature et les liens sociaux, exploite les pays du Sud, transforme en marchandise tout ce qui est encore gratuit, jusqu’à nos vies. Il apporte chaque jour la preuve que derrière l’abondance de divertissements et de biens de consommation, il ne parvient pas à satisfaire les besoins du plus grand nombre. Les profits et les décisions d’une minorité accroissent les inégalités et causent un désastre écologique. Elles mettent en péril les conditions de vie et de travail du plus grand nombre et plus fortement encore celles des personnes issues de la migration, précaires ou des femmes. Poursuivre à l’infini une telle croissance des pays déjà riches, c’est aller droit dans le mur. Dans la courte fenêtre d’action dont nous disposons encore, nous devons faire naître un autre monde.

Pour nous, Ensemble à Gauche Vaud, la réponse à ces enjeux nécessite des changements en profondeur et ne peut qu’être collective, solidaire et démocratique. Nos valeurs essentielles : l’égalité maintenant, la démocratie réelle, la priorité au bien commun et la restauration urgente de l’équilibre entre l’humanité et la nature. Nous voulons un monde vivable et respirable pour toustes. Nous voulons le partage des richesses et la restauration d’un rapport harmonieux avec la nature, contre les logiques du profit. Nous voulons décroître les productions inutiles et nuisibles et accroître la qualité de vie dans un esprit de justice sociale. Nous voulons une société économe en énergie et riche en liens, où celleux qui produisent décident, où les besoins  sont collectivement discutés et où les richesses sont partagées. En résumé : produire moins, partager plus, décider ensemble.

La Suisse romande a la gueule de bois.

Après ce 25 septembre le couperet est tombé, les femmes* devront travailler jusqu’à 65 ans.
Malgré cette claque reçue ce dimanche, nous ne baissons pas les bras, et nous continuons à nous battre avec tous les moyens à notre disposition. Cette décision votée démocratiquement a remporté un « petit oui » dont les conséquences ont été sous estimées.

Depuis 2019, les organisations féministes se sont mises en mouvement pour s’opposer à cette réforme injuste sur le dos des personnes les plus vulnérables. Pour défendre une véritable qualité de vie:., le droit à une vie digne, en cohésion avec les autres et l’environnement.

Aujourd’hui nous rappelons la nécessité a minima , de ramener l’âge de la retraite à 60 ans pour touxtes. Pour cet objectif, et la défense de nos droits et nos besoins, nous ne cesserons pas de nous battre.

Un grand oui au mariage pour toustes. Ce ne sont pas celleux qu’on croit qui profitent… oui à l’initiative 99%.

La crise sanitaire aura eu le mérite de nous rappeler qu’il y a des métiers indispensables et d’autres qui le sont moins. Des métiers majoritairement féminins ont montré qu’ils étaient essentiels à la bonne marche de la société.

Un spectre hante certain·es conseiller·ères d’État PLR: la décroissance. Et iels le font savoir, profitant de leur tribune médiatique pour discréditer ce mouvement, détournant ainsi le regard sur l’énorme responsabilité de leur système économique dans la crise.

Tout le monde en parle, des mesures ont été prises, mais de nombreuses questions subsistent sur la crise associée à la propagation du coronavirus covid-19. Malgré le fait que ce sont les liens sociaux qui animent notre vie, ils seront mis entre parenthèses ces prochaines semaines.

Avec 2.21% des suffrages exprimés pour le Conseil national, Ensemble à Gauche Vaud (EàG) est passé tout près de faire entrer Franziska Meinherz au Conseil national. Avec les voix cumulées de la gauche radicale, il n’a manqué à EàG que 308 suffrages, c’est-à-dire moins de 17 bulletins de vote pour obtenir un siège ! En cohérence avec son engagement quotidien dans les mouvements sociaux, EàG a mené une campagne de terrain, féministe, écologiste, internationaliste et solidaire, qui a su parler à des milliers d’électeurs et électrices. Merci pour votre soutien!

Le groupe décroissance-alternatives a participé à la manifestation pour le climat à Berne samedi dernier sous la bannière de la décroissance comme réponse aux enjeux cruciaux actuels.

La coalition Ensemble à Gauche Vaud (EàG) a présenté le jeudi 5 septembre 2019 son matériel de campagne pour les élections fédérales. Durant les six semaines qui séparent du vote du 20 octobre, EàG mène campagne sur le programme et les revendications pour lesquelles ses militant-e-s sont engagé-e-s sur le terrain tout au long de l’année, notamment le principe de justice climatique et le manifeste de la grève féministe.