Dans le cadre de la campagne pour l’élection au Conseil d’État le 22 mars prochain, Ensemble à Gauche Vaud (solidaritéS, décroissance alternatives, solidarité&écologie) présente une liste composée de 5 candidat·e·s:

Elodie Lopez (Conseillère communale et députée, membre du groupe décroissance alternatives, collaboratrice scientifique)

Taraneh Aminian (Dr Ingénieure EPFL, retraitée, députée da. au Grand Conseil, déléguée Syndicale SUD, La Tour-de-Peilz)

Gabriella Lima (Militante internationaliste, membre de solidaritéS, Master en science politique)

Hadrien Buclin (Député Ensemble à Gauche, membre de solidaritéS, chercheur à l’Uni de Lausanne)

Mathilde Marendaz (Élue communale, activiste pour le climat et master en géographie humaine)

OUI aux soins infirmiers. NON à l’initiative sur la Justice. Vote blanc ou refus de la loi Covid.

Un grand oui au mariage pour toustes. Ce ne sont pas celleux qu’on croit qui profitent… oui à l’initiative 99%.

L’urgence climatique actuelle couplée à une situation sociale difficile appelle une réponse ambitieuse pour favoriser une mobilité respectueuse de l’environnement et accessible à toutes et tous dans le canton de Vaud. La gratuité des transports publics en est une : c’est pourquoi une initiative cantonale a été lancée pour demander la gratuité des transports publics dans le canton de Vaud.

Le harcèlement de rue est un phénomène d’ampleur dans les villes suisse. Une enquête lausannoise a révélé en 2016 que 72% des femmes entre 16 et 25 ans en avaient été victimes dans l’année. Le harcèlement de rue consiste en des paroles, des comportements ou des gestes irrespectueux, menaçants ou humiliants, ciblant une personne, ou des groupes de personnes, dans des lieux publics. Le harcèlement de rue est avant tout un harcèlement sexiste, puisqu’il touche principalement des femmes et des personnes LGBTIQA*. Le harcèlement de rue n’est pas l’apanage d’une classe sociale ou d’une origine, mais d’un genre : le masculin. En effet, dans l’énorme majorité, ce comportement est celui d’hommes, bien souvent  d’ici et installés, qui agissent, seuls ou en groupe,  de manière inadmissible. Rappelons que le harcèlement de rue n’est que la face plus ou moins visible de ces comportements,  la majorité des agressions sexistes violentes se passant dans la sphère privée.

Nous estimons qu’en 2020, les autorités auraient dû utiliser les importants excédents budgétaires et les réserves financières de l’État pour accélérer le tournant écologique, renforcer le service public et pour soutenir de manière accrue les ménages modestes affectés par les conséquences économiques de la pandémie de COVID.

Si nous estimons important de pouvoir accompagner les enfants dans l’apprentissage des outils numériques, ne serait-ce que pour les utiliser de manière adaptée et apprendre à se protéger, nous estimons qu’il est primordial que cet apprentissage ne se fasse pas au détriment de la santé des enfants, et qu’il ne pénalise pas leurs compétences dans d’autres domaines. Retour sur une décision du Conseil communal du 24 juin 2021concernant l’équipement des classes exigé par la politique cantonale.

La motion populaire vient compléter les outils démocratiques en comblant les écarts existant entre l’initiative populaire et la pétition. Ce serait une bonne chose à l’heure où les appels à davantage de démocratie participative s’élèvent de plus en plus, en particulier au sein des mouvements sociaux.

En cette fin de législature 2016-2021, quelques éléments forts ont été soutenus par le Conseil communal, outre l’adoption du rapport de gestion et les comptes de la Commune. Le crédit pour l’aménagement du projet « d’amour et d’eau fraiche » à la place du Marché a été validé, un crédit a été adopté pour la création de skate parcs, moyennant une compensation écologique et enfin, un perspective positive pour les familles avec une redéfinition du réseau d’accueil de jour.

Dimanche 13 juin, les citoyemmes Suisses ont voté sur cinq objets fédéraux ayant suscité de vifs débats, et au sujet desquels les membres de da. se sont mobilisëes.